Les ténèbres de Noël!

Ca ne pouvait arriver que sous la responsabilité de J. Hélias : les lumières de Noël ont commencé... sans illuminations !!!
Les photos ci-dessous de la place des Halles, à l'emplacement de la patinoire, à 19h15 l'atteste: rien de plus que les lumières habituelles des vitrines...

Bien sûr, le maire explique une fois encore qu'il n'y est pour rien. Il n'est jamais responsable de rien, ce sont toujours les autres... Je crois qu'il n'a toujours pas compris la fonction de maire, ni le terme de "responsable". Jamais il ne reconnaît un oubli, une faute, un manque. Jamais de mesures pour s'améliorer ensuite.
Le laisser-aller, puis l'excuse. Les explications dans la presse sont laconiques; il s'est rendu compte la veille de la mise en lumières qu'il manquait de très nombreuses ampoules...!  Pas de solution de recours prévue! A croire que J. Hélias se fiche de tout ce qui peut arriver à notre ville.

Personnellement, je suis très fâchée par ce problème qui n'aurait jamais dû arriver. Quelle image donnons-nous aux milliers de visiteurs venus spécialement pour la "mise en lumières". Que diront-ils, une fois revenus chez eux? Reviendront-ils d'ailleurs? C'est à force de loupés comme celui-ci que la fréquentation de notre marché de Noël baisse inexorablement.
Nous avions fait de cet événement, quelque-chose d'exceptionnel, ils en cassent la dynamique par leur absence d'implication sérieuse. Imagine-t-on qu'on puisse avoir oublié l'éclairage du stade Bonal un soir de match? C'est pareil : rater l'allumage des lumières est un loupé grave dont cette municipalité porte la responsabilité.

Nous avions toujours fait de la mise en lumières un instant important, un instant magique. Noël avant l'heure.
Nous venons de tomber dans la grisaille socialiste: rien ne fonctionne et les responsables s'en moquent!

Ca suffit Monsieur Hélias, suivez les affaires, faites les suivre. Taisez-vous et travaillez, les Montbéliardais ne veulent plus entendre vos pauvres excuses à chacun de vos innombrables loupés !

25/11/2012

Comments

[Olivier]

Je pense que le vrai scandale réside dans le fait qu'on fait appel depuis des années à une société italienne pour monter les lumières de Noël. J'ai beaucoup de mal à croire qu'on ne peut trouver personne en France, ni même dans la région pour s'en occuper. -Et pourquoi ne pas confier cela à la compagnie des bains douches? Ils ont le savoir-faire et la créativité nécessaires pour réaliser quelque chose de magnifique et sûrement bien moins onéreux que ce que nous avons actuellement. Et cela serait un signal fort envers l'emploi à Montbéliard.

[soleil]

C'est lamentable d'autant plus quand on sait que les illuminations attirent encore plus que le marché en lui-même ! Jacques HELIAS ne sait que détruire après le réveillon cité Rêvée, l'orchestre de Montbéliard, c'est au tour du marché de Noël ??

[Antoine]

Dimanche soir, je suis allé au marché de Noël avec vos commentaires en tête : j'ai bien vu qu'il manquait la moitié des lampes dans la rue piétonne (le manque d'ampoules), c'était plutôt moche, mais le trou noir des Halles de vos photos n'existait plus.

Ce problème d'absence de lumières sur cette place la veille peut difficilement s'expliquer par un manque de lampes : tout serait arrivé dans la nuit?!! J'imagine qu'ils ont dû réussir enfin à brancher les fils. Personne, le maire en tête n'ayant demandé à vérifier avant si ça marchait !

Vous avez raison, ce n'est que du laisser aller du maire.

[JOSS]

C'est lamentable!

[Etienne]

Oh, que oui ce nouveau raté de Hélias représente bien l'individu. Je lis dans le journal qu'il a failli s'étrangler à cause du retard de l'entreprise. Il ne l'a pas choisie cette entreprise, peut-être? Il n'a pas fait de contrat avec eux? Il ne devait pas s'assurer que ça allait fonctionner? Il a simplement oublié, comme d'habitude de suivre ses affaires et à la fin, il fait le singe et ses simagrées en expliquant que c'est pas de sa faute... le pauvre chéri, tout le monde lui en veut et s'il rate tout, c'est à cause des autres. Comme un enfant gaté-pourri!

Pauvre sire, cet Hélias!