Elections cantonales 2011.
Vous trouverez ci-joint l'article du Pays de ce jour, à propos de ma candidature aux prochaines élections cantonales de Mars 2011.
"Marie-Noëlle Biguinet relève le défi à Montbéliard-Est."
"C'est le bon moment", explique celle qui est le leader de l'opposition à Montbéliard. Marie-Noëlle Biguinet a été adoubée par les militants UMP du canton
"J'y vais décontractée", annonce Marie-Noëlle Biguinet, confortée par le vote unanime des militants du canton. Déjà pressentie en 2004 pour croiser le fer avec Jacques Hélias, conseiller sortant, elle y a renoncé." Je n'étais pas prête à l'époque. Et puis, on m'avait déjà sollicitée pour les régionales."
Aujourd'hui, forte de son expérience comme adjointe aux côtés de Louis Souvet, puis à la CAPM et au conseil régional ( elle n'a pas été réélue aux dernières élections) elle estime avoir fait ses classes. Elle s'est remise de l'échec des municipales à Montbéliard, puis des régionales.
"L'échec des municipales m'a beaucoup touchée, mais après, la perte de mon fils m'a fait relativiser les choses." Mais c'est surtout sur sa pratique professionnelle qu'elle met l'accent pour briguer ce mandat de conseiller général. Je suis assistante sociale et je connais bien les questions de Revenu de Solidarité Active, celles ayant trait aux personnes âgées et à la petite enfance. Ce sont les compétences premières du conseil général. Quand j'étais adjointe à la ville de Montbéliard, je travaillais beaucoup avec les services du conseil général, notamment pour le centre communal d'action sociale, pour l'ouverture de la maison de retraite Pierre Hauger, pour la rénovation du foyer Bossière... A la CAPM où elle a remplacé Jean-Marc Becker, elle a repris le dossier de la Damassine, la maison des vergers, l'île en mouvement...
Favorable à la réforme.
Par ailleurs, elle se dit favorable à la réforme des collectivités territoriales. "Il faut que les choses évoluent. Personne ne comprend rien à ce mille-feuille administratif qui coûte cher. Il faut que cette réforme cause le moins de dégâts possibles aux services publics qui restent un socle à conserver pour que le pays ne soit pas ébranlé comme il l'est aujourd'hui.". P.Louis.