Le commerce montbéliardais et les élections cantonales.
Vous pourrez lire ci-dessous l'article que j'ai envoyé à l'Est Républicain et au journal "Le Pays" suite aux différentes déclarations de Guy Bèche et de Sylvain Gacon, concernant le commerce montbéliardais et les élections cantonales du mois de Mars:
"C’est bien la politique incohérente de J.Hélias et de son équipe qui a été sanctionnée aux dernières cantonales. C’est d’ailleurs sur ce thème-là que j’ai fait campagne. L’élection cantonale est une élection locale et il s’agissait ici d’agréer ou non les élus locaux. Les Montbéliardais ne s’y sont pas trompés ; ils ont comparé l’absence de résultats des élus actuels avec le travail et l’efficacité de notre équipe pendant de nombreuses années. Cette élection tient lieu de référendum municipal et nous laisse de bonnes raisons d’espérer pour la droite, une reconquête de la ville en 2014.
La population ne pourra accepter plus longtemps la perte d’attractivité de la ville. Malgré les affirmations des élus qui prétendent que tout va bien, les commerces souffrent terriblement et leurs difficultés sont amplifiées par une politique municipale sans vision. Le dogme de la piétonisation généralisée, la dégradation du marché de Noël, l’abandon du » réveillon des boulons-cité rêvée » sont manifestement néfastes au commerce. L’échec du plan de circulation dans le quartier Velotte doit servir d’exemple… à ne pas reproduire rue de Belfort.
Les problèmes de sécurité –qui sont évidents- ont été niés par le maire, provoquant le mécontentement légitime des habitants et les Conseils de quartiers, présentés comme la réponse à tout, se sont révélés être un échec total, malgré la communication à outrance sur ce sujet.
Aucun vrai problème n’a été traité avec le sérieux requis que ce soit pour l’éducation, avec les écoles et le collège de la Petite-Hollande, la santé avec l’hôpital, l’emploi avec les quartiers oubliés… tous sujets qui intéressent au premier chef la population. A cela s’ajoute une gestion calamiteuse des finances locales axée sur le fonctionnement au détriment des investissements.
Et, Jacques Hélias dit maintenant vouloir se présenter aux législatives alors qu’il n’a pas eu le courage de m’affronter aux cantonales ! Je l’ai vraiment regretté car nous sommes en opposition totale sur les objectifs à atteindre et sur les méthodes à appliquer : mais les électeurs auront peut-être un jour l’occasion de choisir… “